GuillaumeQuérou

 1 - PHOTOS de la rubrique MÉDIAS:

• PHOTO 1: Portrait de Guillaume Quérou tiré d'un article du journal "Le Cri du Peuple" 16ème année n°975, datant du samedi 9 août 1924.
• PHOTO 1 des documents familiaux: acte de décès.
• PHOTO 2, 3 et 4 des documents familiaux: acte de mariage.

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 2 - Les événements de la vie de Guillaume QUÉROU:

• Le 19 mars 1921 à 2 heures est née Yvonne Marie Josephe Quérou fille de Guillaume Quérou cultivateur de 34 ans & Jeanne Marie Guern cultivatrice de 28 ans domiciliés à Plourin-les-Morlaix au Sycomore où l'enfant y est née. En présence du père, de Marie.2 Quérou, majeure cultivatrice demeurant à Plourin et de Jean Marie.1 Lazennec, majeur cultivateur demeurant aussi à Plourin. Tous signent.

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• Guillaume Quérou, cultivateur de 38 ans, "se présenta aux élections législatives de 1924 sur la liste du Parti Socialiste. Il recueillit 30 467 voix sur 208 563 inscrites (soit 14,6% des voix). Le 7 août 1924, il fût élu Conseiller d'Arrondissement avec 1294 voix. - Le Cri du Peuple 1924." Merci à l'Association des Amis du Maitron pour ces renseignements - le 20.12.2013 -

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  - 1934 à Kersody en Plourin-lés-Morlaix - Denis Goasguen, que je remercie, m'a envoyée le 2 février 2018, le mail suivant:

• "J'ai trouvé dans un vieux journal, "Dépêche de Brest", un article concernant peut être une personne figurant dans votre arbre:

"Samedi 22 Septembre 1934

• PLOURIN-MORLAIX. LA CULTURE DE LA VIGNE DANS LE FINISTÈREDans un article paru en « Tribune libre » de la Dépêche du 12 septembre, M. Jean Kernéis parle de la culture de la vigne dans le Tréguier. Plusieurs essais, dit-il, sont actuellement faits dans les communes de Plouigneau. Lannéanou, Plougonven et surtout Plourin-Morlaix.

Désireux de renseigner plus complètement les lecteurs de la Dépêche, nous nous sommes rendus à la ferme de Kérazody, dont le propriétaire, M. Quérou, avec son amabilité coutumière, nous reçut fort aimablement.

M. Guillaume Quérou, ancien conseiller d'arrondissement, qui est un éleveur émérite, peut être classé parmi les meilleurs agriculteurs de la région. Nous connaissions depuis le début ses essais et les avions suivis de près, jusqu'à présent, il s'était refusé à toute interview; mais aujourd'hui qu'il estime son expérience concluante, voici ce qu'il nous a déclaré :

- Les articles de M. Daniel, professeur à Rennes, parus dans différents journaux régionaux, m'incitèrent à sacrifier un coin de terre pour des essais de culture de vigne dans ce pays.

Dès janvier 1928, je commandais quelques pieds de Baco n° 1, chez M, Baco, hybrideur à Labatud (Landes). Puis je connus l'adresse de M. Perbos, propriétaire viticulteur à Saint-Etienne-de-Fougères (Lot-et-Garonne). Chez ce dernier, il existe une collection de vignes, la plus belle et la plus complète (1.500 variétés en culture). Je commandais : 1er 10 racines de un an du Triomphe d'Alsace (noir); 2e 10 racines du Seibel 4986 (roi des hybrides) blanc; 3e 10 racines du Seibel 5279, blanc; 4e 6 racines Couderc n° 8, noir; 5e 5 racines Malègue 1647-8, blanc. Le tout pour une somme de 22 francs.

Baco n° 1. J'ai planté le Baco n° 1 par rangées espacées de 2 mètres avec un intervalle de 2 mètres entre chaque pied. A cet effet, j'ai creusé des trous carrés de 0 m. 30 de profondeur et de 0 m. 30 de côté. Au fond de chaque trou, J'ai mis une bonne fourchée de terreau. Les racines étant trop longues, je les ai coupées.

En octobre 1930, j'ai récolté environ 5 litres de vin par plant. M. Auguste Le Coz, mon voisin, et moi avons voulu savoir quel poids de raisin pouvaient contenir les deux plants les plus chargés en fruits. Dans l'un des deux plants de 2 ans, il y avait exactement 10 kilos de raisin et dans le second 9 kilos 500.

N'importe qui peut obtenir ces résultats. Je ne conseille à personne de tenter de pareils essais, car en taillant ma vigne trop long, dès l'hiver 1930, je l'ai abîmée. Mais je recommande la lecture d'un petit livre écrit et vendu par l'auteur, M. Baco : Traité de viticulture moderne.

En 1929, M. Merrer plantait une vigne à Saint-Eutrope, en Plougonven. Il obtint un bon vin en 1931.

En 1930 et en 1931, voici du Baco n° 1 aux environs de Morlaix : M. Pohen, à Lanmeur; M. Y. Bohec, à Guimaëc (J'ai bu de très bons vins chez ces derniers cette année) ; MM. Guyomard, à Trévidy, en Plouigneau; Hamon, à Saint-Martin-des-Champs; Louis Normand, à Kérolzic, en Plourin; Turluer et Marrec, au bourg de Plourin; un peu plus tard, c'est M. Manchec, de Plougonven, qui possède une jeune vigne admirable à voir et portant beaucoup de fruits. Tousmes voisins possèdent aussi de jolis pieds de vigne, 6 ans d'âge et chargés de raisins.A toute personne qui ne croit pas que la vigne puisse réussir en Bretagne, j'affirme que j'ai cueilli du raisin bien mûr dans la première quinzaine d'août. J'en ai fait goûter à plusieurs journalistes et amis et cela depuis 1930.

Dans un prochain article, nous parlerons de différentes variétés qui peuvent très bien réussir en Bretagne. H. A."

• Présents: Jean François Marie Guével, négociant en vins & Ernestine Yvonne Ollier, parents du marié - Guillaume Quérou & Jeanne Marie Guern, parents de la mariée -François Guével, négociant en vin, domicilié à Pleyber-Christ et frère du marié - Roger Huon, professeur d'histoire-géographie, domicilié à Saint-Brieuc, cousin germain de la mariée, fils de Louis Huon & Anne Marie Guern (sosas 14 & 15).

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