Message d'information du propriétaire de l'arbre

close

-Nous sommes tous des Africains -

 

Fraternelle,tolérante, bienveillante, mais rigoureuse! /[email protected]/
Après la disparitiondes dinosaures, voici l'encyclopédie biographique,contemporaine et filiative de l'Homoerectus.

~

Listes alphabétiques despersonnalités présentes surWikifrat 

Les sixpouvoirs :

1/Le Monde del’Economie, 2/ Le Monde de laPolitique, 3/Le Monde de laJustice, 4/ Le Monde de laPresse et des Médias,5/Le Monde des Armes : Militaires,Résistants, Révolutionnaires etContre-Révolutionnaires,6/ Le Monde des Scientifiques, des Saltimbanques et de tous lesInclassables. 


Francis MULLIEZ
Francis MULLIEZ
(Francis Louis Marie MULLIEZ)
 Franky Mulliez


  • Né le 22 mars 1947 - Roubaix, 59100, Nord, Hauts-de-France, France
  • Âge : 76 ans
  • Président fondateur de Kiloutou et de Horse Wood, Président du Conseil de Surveillance,
    Propriétaire du château de Bannes à Beaumont-du-Périgord et du château de Dampierre-en-Yvelines

 Parents

 Union(s) et enfant(s)

 Fratrie

(pages liées)

 Notes

Notes individuelles

 1 - Biographie

Sommaire

24 octobre 2006

 1.1 - Kiloutou fait de Franky Mulliez un « jeune retraité »

Le fondateur du loueur de matériels a cédé l'an dernier le contrôle de son entreprise à Sagard et a ouvert le capital à une trentaine de cadres dirigeants. Son seul regret, « ne pas l'avoir fait dix ans plus tôt ».

Franky Mulliez ? Il bricole ! A soixante ans à peine, le fondateur de Kiloutou est, comme il se qualifie lui-même, un « jeune retraité » qui partage son temps entre les randonnées à cheval et la restauration d'un château périgourdin classé. Il y a un an, le très discret cousin de Gérard Mulliez (Auchan) a en effet cédé à Sagard, fonds sponsorisé par la famille canadienne Desmarais, le contrôle de l'entreprise qu'il a créée en 1980 et qu'il détenait en quasi-totalité. L'aboutissement d'une réflexion sur sa succession, entamée dès 2004.

« Mon troisième garçon, qui avait seize ans à l'époque et venait de passer un mois dans nos agences, m'avait demandé de ne pas vendre et de l'attendre, et mes autres enfants n'avaient pas le profil », se remémore Franky Mulliez. Touché par l'ambition de son fils, le père ne voulait pas pour autant patienter vingt ans. « C'était aussi le bon moment de faire entrer dans le circuit la trentaine de jeunes cadres brillants et ambitieux qui m'ont aidé à monter cette boîte », explique ce « Bac _ 2 » qui croit aux vertus de la participation au point d'avoir, très tôt, ouvert 5 % de son capital à ses salariés et distribué des stock-options. De surcroît, un dossier de croissance externe, qui ne s'est pas concrétisé, lui a récemment démontré les limites d'un capital purement familial, sans appui financier extérieur.

 1.2 - « Sentir le métier »

Aujourd'hui minoritaire (34 % du capital) dans sa propre entreprise, Franky Mulliez est un président de conseil de surveillance qui « butine », passe un à deux jours par mois sur le terrain « pour voir [ses] gars, sentir le métier, et vérifier si le directeur général s'est entouré de cadres de bon niveau ». « Franchement, je regrette de ne pas avoir fait un LBO dix ans plus tôt, car notre développement aurait été beaucoup plus rapide », déclare ce patron qui, comme avant, laisse une grande autonomie aux équipes dirigées par Xavier du Boys, le président du directoire.

Pour cet ancien consultant en management et stratégie, aux manettes de Kiloutou comme directeur général depuis 2002, le LBO a été une divine surprise. « L'actionnariat de Kiloutou n'avait pas évolué en vingt ans, et ce n'était pas au programme lorsque je suis arrivé », se rappelle l'ancien patron d'ADA, qui n'a pas pour autant été pris de court. Loin de là. Le LBO, Xavier du Boys l'avait envisagé... dix ans plus tôt, sur un fabricant de meubles. « Le vendeur a finalement été tellement séduit par le projet de développement que je voulais mettre en place qu'il l'a adopté et a conservé son affaire. L'épisode m'a beaucoup appris », sourit aujourd'hui l'ancien consultant.

Ce diplômé de l'Essec s'est aussi frotté aux fonds d'investissement en tant que cocréateur d'une start-up de publications électroniques professionnelles (FTPress), à la grande époque de l'Internet. Sans surprise, l'aventure tourne rapidement au cauchemar. « Il fallait remettre en cause la stratégie tous les trois mois pour garder la tête hors de l'eau, et les fonds actionnaires n'étaient pas vraiment habitués », raconte Xavier du Boys.

C'est donc un spécialiste déjà avisé des questions financières qui convainc les 19 directeurs régionaux et les 11 autres membres de l'équipe de direction de Kiloutou de l'intérêt de prendre 15 % du capital à travers un « OBO », un « owner buy-out » dans le jargon. Un « outil de motivation » qui ne doit pas non plus, selon Xavier du Boys, « devenir une fin en soi ».

La « récompense viendra seulement au bout du chemin », rappelle-t-il régulièrement à ses équipes. Qui suivent de près l'expertise indépendante, une fois par an, de la valeur de l'action Kiloutou.


 2 - Franky Mulliez réinvestit la location... au Brésil et avec l'AFM

13 juin 2011

Le fondateur de Kiloutou s'apprête à réinvestir le marché de la location de matériel. Six ans après avoir cédé le contrôle de son entreprise (dont il conserve néanmoins 22 %), Franky Mulliez est sur le point de reprendre un petit réseau brésilien constitué de 5 agences. "Lidée est de commencer par s'imprégner du marché et du pays", explique l'entrepreneur nordiste, aujourd'hui âgé de 64 ans et qui pour l'occasion vient d'effectuer une semaine de stage linguistique. L'investissement sera piloté sur place par Alain Boursy, ancien de Kiloutou, bon connaisseur du pays. Le conseil de surveillance de l'entreprise sera présidé par Franck Mulliez, l'un des quatre fils de Francky, tout aussi globe-trotter que son père.

Alors que jusque là, Franky Mulliez développait ses affaires en marge de l'AFM, il sera cette fois associé à ses cousins. L'AFM sera même majoritaire avec 51 % du capital. "Ils se sentent plus à l'aise avec ce type d'investissement, dans de petites affaires qui démarrent, plutôt que dans de grosses sociétés qui coûtent tout de suite beaucoup plus cher" explique Franky Mulliez.


 3 - Les 500 plus grandes fortunes de France (2021)

  • Franky Mulliez
  • Rang : 465ème
  • en 2021 : 200 M€
  • 'en 2014 : 200 M€'
  • en 2013 : 150 M€
  • Le fondateur de l’enseigne possède 25 % du loueur de matériels de bricolage (CA : 471 millions), valorisé 535 millions lors de l’entrée du fonds PAI Partners.
  • 2020 - Le fondateur de ce groupe de location de matériels (CA : 729 millions) en détient une minorité après le rachat par les familles Dentressangle, Decaux et Lafonta. Il a émis 860 millions d’obligations cet hiver.
  • 2019 - Depuis le rachat par les familles Dentressangle, Decaux et Lafonta de ce groupe de location de matériels (CA : 689 millions), son fondateur en conserve une minorité.
  • 2018 - Ce représentant de la famille propriétaire d’Auchan est resté au capital du loueur d’équipements, après son rachat pour 1,5 milliard par Dentressangle et Decaux et J-B Lafonta.

Naissance

10h50

 Sources

  Photos & documents

{{ media.title }}

{{ mediasCtrl.getTitle(media, true) }}
{{ media.date_translated }}

 Aperçu de l'arbre

portrait
Louis MULLIEZ 1877-1952
 portrait
Marguerite LESTIENNE 1880-1951
 Marcel MOTTE 1890-1977 Maria LECLERCQ 1897-1991
||||






||
Francis MULLIEZ 1922-2007 Geneviève MOTTE 1925
||



|
portrait
Francis MULLIEZ 1947