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Cet arbre est lerésultat de recherches personnelles, d'informations fournies pardes parents ou d'autres généalogistes amateurs, mais aussi dedonnées trouvées sur Internet qui n'ont pas encore pu êtrevérifiées. Y figurent également le fruit de recherches surcertains patronymes sans qu'un lien avec l'arbre principal ait puêtre établi.

Il est toujours enchantier et certaines parties sont encore "en construction". Jem'efforce d'indiquer mes sources. Je fais une mise à jour tousles mois. Je fais parfois des hypothèses. Ne manquez pas deconsulter les notes.

Merci à tous lesvisiteurs de bien vouloir me faire part de leurs remarques, deserreurs qu'ils trouveront et des données complémentaires dontils auraient connaissance.

Pour voir lesimages et documents en liaison avec cet arbre, je vous invite àvisiter mon site internet : https://www.xgille.net/

 


Sosa :90
  • Born about 1773 - Paris, 75000, Paris, Île-de-France, France
  • Deceased January 12, 1866 - 374 rue Saint-Denis - Paris-IIème, 75102, Paris, Île-de-France, France,aged about 93 years old
  • Fabricant de gaze, Fabricant de châles en cachemire

 Parents

 Spouses, children, grandchildren and great-grandchildren

 Siblings

  • M N2 VALET 1772..1814- With? ?
  • M sosa "Nicolas" Michel VALET ca 1773-1866 Married October 3, 1793, Xe ancien - Paris, 75000, Paris, Île-de-France, France, toAimée "Élisabeth" LEFEVRE ca 1775-1825
    "Nicolas" Michel VALET ca 1773-1866 Married December 23, 1847, VIème ancien - Paris, 75000, Paris, Île-de-France, France, tososa "Marie" Jeanne MASSON (2) 1794-1862

 Present at an event

(display)

 Events


 Notes

Individual Note


Signature: O
Bourgeois, il semble être né à Paris.
A la mort de son fils Michel en 1814, il est gazier (fabricant de gaze) et demeure 40 Faubourg Saint-Denis à Paris. En 1812, il habite 398 bis Rue St-Denis ; en 1819, 374Rue St-Denis, il est rentier.
Propriétaire d'un immeuble, il vit deses rentes. Après la mort de sa femme, il entretient une maîtresse, Marie Masson, de vingt ans sa cadette. Il est témoin à la naissance de la fille de sa maîtresse (1829). On peut penser qu'il est le père d'Augustine, à moins que Marie n'ait eu un amant de coeur à l'insu de son riche protecteur. Pour sa part, il ne semble pas avoir de doute quant àsa paternité puisqu'il reconnaît Augustine, le 12/02/1844, par acte reçu à la Mairie du VIe ancien. Il épouse sa mère en 1847, ce qui déclenche un procès avec les enfants de son premier lit. En effet, il étaitl'héritier de sa première épouse à condition de ne pas se remarier. Le Tribunal de Paris rend son jugement au début de 1861 (La Gazette desTribunaux du 03.02.1861). Il est destitué de son legs en usufruit à partir de la date de son remariage. Par acte devant Mes Dumas et Rageot, notaires à Paris le 21/01/1864 il fait une donation de 40.879 F auprofit des enfants de son premier lit. Par testament du 09/10/1862 devant Me Robert, il lègue aux enfants de son premier lit tous les biensdont il peut disposer légalement. Il lègue également à son neveu Nicolas Marie Valet, une rente annuelle incessible de 200 F. Il ajoute uncodicille le 31/07/1863 par lequel il lègue une rente viagère de 800 Fà Catherine Courtois à condition qu'elle reste avec lui jusqu à son décès. Un inventaire de ses biens est dressé par Mes Emile Jozon et Robert le 22/01/1866. Les enfants du premier lit tentent de faire rapporter à la succession les sommes prétendument données à Marie Masson et àsa fille Augustine par leur père. Augustine, soutenue par son époux,Victor Ruprich-Robert, demande alors l'annulation de la donation du 21/01/1864 et du testament. Ces demandes sont rejetées par le Tribunal de Première Instance qui ordonne la liquidation de la succession. L immeuble du 374 rue Saint-Denis est mis en adjudication pour 200 000 F etéchoit finalement à Gabriel Jules pour 354 000 F (> 1,1 million EUR).Il y avait également une rente italienne, des parts de la dette publique des Etats Romains et des liquidités pour un total d'environ 140 000 EUR. Finalement, au terme du procès verbal du 28/04/1866 dressé parMe Emile Jozon, 25 rue Coquillière à Paris, Augustine touche un peu plus de 134 000 F, soit plus de 420 000 EUR d'aujourd'hui.

  Photos and archival records

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 Family Tree Preview

   
sosa Nicolas VALET 1692..1756- sosa Madeleine MAS 1717..1759-
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sosa "Nicolas" Michel VALET ca 1773-1866