Léon Charles AugusteGAZEAU Né le 8 octobre 1891 (jeudi) - Saint-Gilles-Croix-De-Vie, 85800, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE Décédé le 23 novembre 1925 (lundi) - Rachaya, Moyen Orient -, SYRIE,à l'âge de 34 ans Domestique 6 médias disponibles 6 médias disponibles A participé à la Grande Guerre L'actualité de la guerre au jour le jour Unité(s) : 2e régiment de chasseurs à cheval (2e RCC) , 1er régiment étranger (1er RE) Domicile lors de la mobilisation : Saint-Gilles-Croix-de-Vie (85)

 Parents

• Auguste Désiré GAZEAU, né le 20 juin 1864 (lundi) - "la chabossière" - Saint Martin De Brem - 85 - Vendée, 85, Vendée, FRANCE, décédé le 6 avril 1946 (samedi) - Brem-Sur-Mer, 85470, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE à l'âge de 81 ans,
  Cultivateur - journalier
  
  Marié le 18 novembre 1890 (mardi), L'Aiguillon-Sur-Vie, 85220, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE, avec
• Marie Adélaïde AGEON, née le 22 janvier 1871 (dimanche) - Givrand, 85800, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE, décédée le 23 mars 1944 (jeudi) - Brem-Sur-Mer, 85470, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE à l'âge de 73 ans,
  Cultivatrice - ménagère

 Fratrie

• Léon Charles Auguste GAZEAU 1891-1925
• Joséphine Marie Augustine GAZEAU 1893-1968 Mariée le 9 août 1913 (samedi), Brem-Sur-Mer, 85470, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE, avecMaximin Fernand BONNAUD 1888-1937
• Marie Clotilde Augustine GAZEAU 1894-1967 Mariée le 26 avril 1920 (lundi), Brem-Sur-Mer, 85470, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE, avecAlphonse Eugène Henri RUCHAUD 1892-1925
  Marie Clotilde Augustine GAZEAU 1894-1967 Mariée le 21 novembre 1927 (lundi), Saint-Julien-Des-Landes, 85150, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE, avecClément Constant Eugène VIOLLEAU 1894-1937
• Antoinette Jeanne Georgina GAZEAU 1897-1899
• Marcel Augustin Henri Georges GAZEAU 1902-1935 Marié le 8 juin 1926 (mardi), Brem-Sur-Mer, 85470, Vendée, Pays De La Loire, FRANCE, avecIrina Augustine Maria Séraphine MIGNIER 1907-

 Notes

Naissance

N / AD 85 VUE 102/105
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Décès

NOTA / Mobilisation militaire.
* Appelé au service militaire en octobre 1912, devait être libéré le 1er octobre 1914. A été maintenu sous les drapeaux par décret de mobilisation générale, a fait campagne contre l'Allemagne du 2 août 1914 au 23 octobre 1919. S'était réengagé le 13 août 1919. A été muté en Algérie du 1er avril 1921 au 29 juin 1921, en Tunisie (différentes affectations) du30 juin 1921 au 20 août 1925, au "Levant" (Syrie) du 21 août au23 novembre 1925 où il a été tué au combat. A reçu plusieurs médailles au long de sa carrière militaire.
Sources: AD85 Soldats de Vendée 1914-1918 -
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https://etatcivil-archives.vendee.fr/arkotheque/visionneuse/visionneuse.php?arko=YTo3OntzOjQ6ImRhdGUiO3M6MTA6IjIwMjEtMDEtMDEiO3M6MTA6InR5cGVfZm9uZHMiO3M6MTE6ImFya29fc2VyaWVsIjtzOjQ6InJlZjEiO2k6NDtzOjQ6InJlZjIiO3M6NDoiODgzNiI7czoyMjoiZm9yY2VfbnVtX2ltYWdlX2RlcGFydCI7aTo1NDA7czoxNjoidmlzaW9ubmV1c2VfaHRtbCI7YjoxO3M6MjE6InZpc2lvbm5ldXNlX2h0bWxfbW9kZSI7czo0OiJwcm9kIjt9
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CF / Histoire // BATAILLE DE RACHAYA //
Le 5 novembre, les cavaliers de la Légion étrangère établirent leurs quartiers dans le fort de Rachaya. Il s'agissait du 4e escadron du 1er régiment étranger de cavalerie (1er REC), fort d'une centaine d'hommes et commandé par le capitaine Landriau. À cette époque, le village de Rachaya comptait environ 3 000 habitants. Le fort était situé sur une colline au-dessus de la ville ; il était de petite taille et partiellement en ruine. Les vols de reconnaissance français permirent de déterminer que les troupes druzes, d'environ 3 000 hommes étaient basées à proximité du village .
Le 20 novembre, Zayd et ses combattants ouvrirent un feu nourri contre les positions françaises dans Rachaya depuis les collines avoisinantes, Profitant de la tombée de la nuit, les rebelles s'infiltrèrent par des brèches dans la défense et se saisirent d'une partie de la forteresse. Ils furent obligés de rebrousser chemin devant la défense française, mais revinrent à l'assaut les jours suivants avec des renforts. De violents combats s'ensuivirent dans l'enceinte de la forteresse pendant trois jours, jusqu'à ce qu'une charge à la baïonnette française oblige les rebelles à se replier à l'extérieur. Les combats furent marqués par de nombreux affrontements au corps-à-corps6. Après ces trois jours d'affrontements, le sol était jonché de cadavres et de blessés des deux camps, ainsi que de carcasses de chevaux et de dromadaires.
Après avoir repoussé les rebelles, les troupes françaises envoyèrent des pigeons voyageurs (il y en avait 6 pour la garnison) afin de demander des renforts au commandement de la région7. Pendant ce temps, quarante à cinquante hommes de l'escadron Landriau avaient été tués ou blessés et personne n'avait dormi pendant trois jours et trois nuits. A court de munitions (il ne restait plus de grenades et une quinzaine de munitions par soldat)7, Landriau décida de «" faire Camerone »" en lançant un ultime assaut afin de tenter de briser l'encerclement.
«" Faire Camerone »" fait référence à la bataille de Camerone (30 avril 1863) entre la Légion étrangère française et l'armée mexicaine. Cette tactique désespérée devait entrainer les hommes dans une charge à la baïonnette sur les troupes ennemies, dans ce cas, les hommes de Zayd. Landriau demanda à ses hommes de conserver chacun une dernière cartouche afin de pouvoir se suicider en cas de capture pour éviter une terrible torture en captivité. Avant que Landriau ne puisse lancer sa charge, l'aviation française arriva pour bombarder les rebelles rassemblés autour de la forteresse et l'unité fut renforcée par l'arrivée d'une première colonne de secours du 6e régiment de Spahis puis une seconde colonne du 21e régiment de tirailleurs algériens. Par la suite, les forces de Zayd se replièrent dans les montagnes de l'Anti-Liban.
À la fin de cette bataille, on dénombra plus de 400 morts chez les rebelles (et au moins 34 blessés) pour 58 tués et blessés au sein du 4e escadron du capitaine Landriau.
SOURCES / WIKIPEDIA -
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