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Je suis l'air de famille et je vole de place en placeau-dessus de l'oubli.

Tout passe, les heures,les nuages dans le ciel, la vie des hommes, des femmes, emportés dela naissance vers  la mort.  Ne t'attache pas à lachronologie affective des choses. C'est une trèsmauvaise manière de voir le monde. Fais de chaque seconde uneexpérience enrichissante. Sans t'inquiéter du temps qui fuit et desmatins qui ne reviennent plus.

Le présentest la seule chose qui n'ait pas de fin.        La fin est le début et le début la fin. L'alphaet l'oméga. A O 
Le cycle de la vie, un cercle.
On crée notre propre destin, il est dans nos mains.
Tout est énergie, onde.
https://youtu.be/Y-fUbmuIouA (ce qu'ont vu nosancetres)

Le Chemin de l'Olivier ,extrait épisode 4 sur 8 (Netflix, série turc de Nuran Evren Sit2022) https://www.facebook.com/100005835434036/posts/1942213349316494/?


Charles Emile SOUVESTRE
Charles Emile SOUVESTRE
  • Born April 15, 1806 (Tuesday) - Morlaix,29600,Finistère,Bretagne,FRANCE
  • Deceased July 8, 1854 (Saturday) - Montmorency,95160,Val-d'Oise,Île-de-France,FRANCE,aged 48 years old
  • Buried - Père Lachaise, 48e division - Paris,75000,Paris,Île-de-France,FRANCE
  • Ecrivain, avocat, journaliste, et auteur dramatique français
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 Parents

 Spouses and children

 Siblings

 Half-siblings

On the side of Jean-Baptiste SOUVESTRE 1757-1823

 Notes

Individual Note

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Charles-Émile Souvestre naît le 15 avril 1806 à Morlaix et passe dans cette ville sa petite enfance à l’abri de la pauvreté, entouré par ses demi-sœurs et ses frères. Enfant d’une famille bourgeoise francophone opposée à l’Ancien régime, Émile grandit avec le siècle et doit sa formation à l’instruction publique.
S.A. Nonus, dans son 'Histoire du département du Finistère, avec la biographie des personnages remarquables qui en sont originaires, publiée en 1890, indique qu'Emile Souvestre était d'une famille de marins bretons et qu'il céda de bonne heure à une vocation littéraire. Quelques articles publiés dans les Revues des départements de l'Ouest le firent remarquer.

En 1818, il entre comme boursier au Collège royal de Pontivy, où il est victime des discriminations sociales réservées aux fils d’anciens partisans de la Révolution.
Bon élève, s’étant lié d’amitié avec au moins deux de ses condisciples qui, par la suite, passeront eux aussi par le saint-simonisme (Ange Guépin, Pierre-Eugène Guieysse), Souvestre utilise sa plume pour lever avec eux l’étendard de la rébellion. Le poète en herbe laisse apparaître ses tendances anti-monarchiques et ridiculise ses professeurs dans une petite comédie qui lui vaut le renvoi du collège (1823).
Il ruine ainsi l’espoir de son père de le voir entrer à l’École Polytechnique.

Il fut quelques temps professeur au collège Armoricain de Nantes, alla ensuite à Brest où il dirigea le journal le Finistère, professa la rhétorique au collège, occupa ensuite la même chaire à Mulhouse, et revint à Paris en 1836, où il ne s'occupa plus que de littérature.
Ses écrits "se distinguent surtout par l'enseignement moral. Ce fut son but constant et un besoin de sa nature." Il aimait beaucoup la Bretagne et déjà, au collège de Pontivy, où il étudiait, il négligeait parfois ses livres classiques pour des croquis de moeurs bretonnes; aussi s'inspira-t-il beaucoup, dans ses romans, des légendes ou de l'histoire de sa province.
Outre bien d'autres ouvrages, on a de lui :
une nouvelle édition du Finistère en 1794, de Cambry,
et le Finistère en 1836;
Riche et Pauvre (1836);
L'Homme et l'Argent
Le Foyer breton (1844), recueil fidèle et vivant des légendeset superstitions de la Bretagne;
Un philosophe sur les Toits, auquel sur la proposition de Victor Hugo, l'Académie Française décerna un de ses prix pour les ouvrages utiles aux moeurs (1851).
Mais selon son biographe, son chef-d'oeuvre est son ouvrage Les Derniers Bretons (1835-1837), en 4 volumes, "premier portrait en pied digne de la Bretagne."


Il est candidat aux élections législatives de 1848, mais il n’est pas élu.

Il était le fils d'un notable, Jean Baptiste Souvestre (1757-1823), ingénieur des Ponts et Chaussées.
Sa famille n'était bretonne que par adoption.

L'Irlande était le pays d'origine de ses ancêtres., lit on dans certaines sources.
C'est faux...
Voici ce qui repris de nos jours encore sur le site http://www.infobretagne.com/souvestre-emile.htm , propageant une fausse vérité comme dans sa biographie :
"Dévouée aux Stuarts détrônés, elle passa sur le continent après le triomphe définitif de la maison d'Orange et s'établit en Bretagne.
Elle francisa alors son nom : Sovester devint Souvestre, Souestre, et Souètre, que l'on rencontre assez fréquemment dans les Côtes-du-Nord (aujourd'hui Côtes-d'Armor).
Le commerce et l'industrie de la tannerie la firent assez rapidement prospérer.
"

Ceci est donc faux.


De son œuvre, on retient principalement ses ouvrages sur la Bretagne et les bretons, ils sont périodiquement réimprimés aujourd’hui.
Parmi eux : Les Derniers Bretons (1835-1837), Le Foyer breton (1844), L’échelle de femmes (1835), La Bretagne pittoresque (1841), ......

Depuis l’époque où Lejean a rédigé la notice sur feu son ami morlaisienpour la Biographie bretonne de Levot, et où Lesbazeilles a inséré un essai biographique sur son beau-père dans l’édition en volume des Souvenirs d’un vieillard, la vie et l’oeuvre d’Émile Souvestre ont été étudiées à maintes reprises. Mais, de nos jours, cet écrivain est un auteur bien oublié en dehors de sa Bretagne natale et un homme plutôt méconnu.
Si l’on se souvient de son échec électoral en 1848 et si l’on connaît le moraliste qui a contribué à l’émergence de la poésie populaire bretonne au sein du champ littéraire, on entend rarement évoquer son attitude envers les poètes ouvriers et on se soucie peu de son rôle important dans l’histoire du roman populaire ou du roman d’anticipation.

On ignore plus généralement encore le dramaturge, le journaliste républicain passé par le saint-simonisme et l’homme porté par l’utopie sociale qui revendique l’émancipation des femmes et s’attache à la vulgarisation des savoirs.

L’objectif du colloque qui s'était tenu en février 2006, à l'IUT de Morlaix, Manufacture des tabacs, était de replacer Souvestre dans le contexte historique de son époque, d’évoquer les facettes les plus occultées de son parcours et d’éclaircir les raisons de sa notoriété méritée, y compris à l’étranger, ainsi que de témoigner de l’intérêt qu’il a suscité dans les beaux-arts et en musique.
Centre de Recherche Bretonne et Celtique
20, rue Duquesne – CS 93837
29238 BREST CEDEX 3
Tél. 02 98 01 63 31 Fax 02 98 01 63 93
e-mail : [email protected]
www.univ-brest.fr/Recherche/Laboratoire/CRBC


Son portrait par JH BELLOC (Musée de Morlaix) :
Emile_Souvestre_peint_par_JH_BELLOC_musee_de_Morlaix.jpg
A lire L'âme bretonne : La Bretagne et les pays celtiques, Volume 1 Par Charles Le Goffic, page 85 et suivantes
Il mourut à Montmorency d'une maladie de coeur, le 8 juillet 1854.
Sa tombe :
Tombe_d_Emile_SOUVESTRE_buste_oeuvre_du_sculpteur_GRASS.jpg
« Je sais mieux que personne, déclare Souvestre, ce qui« manque à ce que j'écris. La persistance des idées et la« droiture des sentiments ne suffisent pointdans l'art; il faut« quelque chose d'ondoyant et divers que j'ai toujours vai-« nement cherché. J'appartiens, malgré moi, quoi que je« fasse, à cette terre celtique où les monuments sont des« pierres non taillées. »« C'est vers 1836 qu'il entra en relations avec EdouardCharton, qui devint préfet de Seine-et-Oise au 4 Septembre,et qu'entre eux débuta, doublée d'une active collaboration,une étroite amitié que continua, à la mort de son beau-père,M. Lesbazeilles, à Versailles.« Dans l'appartement de la rue du Faubourg-Poissonnière,que d'hommes illustres et distingués défilèrent : Quinet,Michelet, les amis les plus fidèles de Souvestre ! La familleSouvestre y donna môme l'hospitalité à Quinet dans des circonstances mémorables et peu connues, au coup d'Etat; cefut au faubourg Poissonnière que Quinet se réfugia, sous lenom de Bazaine, dont le frère, ingénieur en Alsace, avait étél'ami de Souvestre; on réussit à lui faire passer la frontièresous le nom d'Emile Souvestre.« L'écrivain dont nous avons célébré le bicentenaire en 2006 ne quittaguère Paris, de 1836 à 1854, que pour se présenter en 1848 àla députation dans le département du Finistère qui lui donna48,000 suffrages, et pour faire des conférences littéraires àGenève, Lausanne, Neuchâtel et Chaux-de-Fonds, et se reposerl'été à la campagne, aux environs de Paris.« Les coins qu'il préférait étaient : Sèvres, Meudon,Montmorency, et c'est ainsi qu'il appartient à notre domaine.« Il aimait à suivre le flot des Parisiens dans leurs promenades du dimanche à la campagne. Dans le Philosophe sous lestoits, nous le voyons k Sèvres, dont il visite la manufacture ; ildécrit Meudon, avec ses villas, ses bois et son château royal; lagare Montparnasse, l'embarcadère de la rive gauche lui sontfamiliers; l'été, il va se reposer avec sa famille dans la valléede Montmorency, hantée des souvenirs de Jean-Jacques.« Si la petite ville de Montfort, trop éloignée de Paris,sans chemin de fer alors, n'est point visitée par lui, le nomde ses anciens seigneurs ne lui est pas étranger.« II se plaît, en effet, à retracer les grands faits d'histoire auxquels furent mêlés les ducs de Bretagne, comtes deMontfort; ce n'est pas sans émotion qu'il regarde près deBrech la fontaine où la levrette de Charles de Blois abandonne son maître au moment de la bataille pour suivre Montfort, présage éloquent qui disait l'issue du combat ; il parcourt attristé, entre Auray et Pluvigner, la plaine qui fut, lorsdes querelles entre les comtes de Blois et de Montfort, lethéâtre d'un sanglant combat, où l'on entend la nuit les âmesdes soldats morts qui souffrent et demandent des prières.« Emile Souvestre, après avoir publié tant d'oeuvres commele Foyer breton, les Souvenirs d'un Vieillard, parmi les plusconnues, la Confession d'un Ouvrier, collaboré à des revues,au Magasin pittoresque, jeune encore, mais fatigué, aspiraitau repos.« Il écrivait : « Je voudrais jouir de la sérénité du soir« avant de me coucher. »« Homme d'intérieur, il se réjouissait de se reposer aumilieu de ses enfants :« Que je serai donc heureux, disait-il dans une lettre à« l'aînée de ses filles et à son gendre, de voir votre bonheur« de plus près, de le toucher, de l'entendre rire! Vous me« permettrez bien au moins de n'y point mettre de discrétion,« de vous montrer à moi dans tout le luxe et tout le bruit de« votre joie. »« Les espérances qu'il concevait, hélas! ne furent pointréalisées; le 5 juillet 1854, il mourait subitement, à l'âge dequarante-huit ans, à Montmorency, dans ce département deSeine-et-Oise qu'il affectionnait tant.« Mais, en mourant, Emile Souvestre laissait une famillequi perpétuait son nom et son souvenir à Versailles, desamis fidèles dans cette même ville, et c'est ainsi que de nouveaux liens le rattachent encore à nous.« Mm- Emile Souvestre, qui fut une intelligence d'élite,partagea, son mari mort, sa vie entre ses trois filles, entreVersailles, Fontainebleau et Quimper, mais c'est à Versaillesque principalement elle demeurait.« En elle survivait son mari.« Pendant trente-deux ans, j'en fus témoin (dit M. Lesba-« zeilles, son gendre qui habitait Versailles), elle a continué à« vivre avec lui. Elle entretenait en elle ses pensées, ses« convictions; elle relisait sans cesse, chaque jour, ses« ouvrages, particulièrement ceux où elle retrouvait le« mieux ses pensées, l'accent de son âme. »« Emile Souvestre, après avoir vécu vingt-huit ans sur laterre bretonne et vingt-cinq ans environ de la vie parisienne,repose maintenant au cimetière du Père-Lachaise. Le 17 dece mois, avec notre cher Pentyern, je faisais un pèlerinage àla tombe de cet écrivain distingué, de cet enfant de Morlaix ;son tombeau, entouré de buis et d'immortelles, voisine avecceux des historiens, des hommes de lettres et des artistes deson temps, Balzac, Michelet, Frédéric Soulié, Eugène Delacroix, dans cette allée qui porte le nom de Casimir-Delavigneet que peuple une légion de grands morts; malgré une pluiebattante, nous avons tenu, avant le Pardon, à rendre hommage h celui dont nous allons fêter le centenaire et dont lesculpteur strasbourgeois Grass a exprimé, dans le buste quisurmonte la tombe, le beau caractère empreint d'austérité.« Sur le monument que la piété de sa famille lui a élevésont inscrits les noms de sa digne compagne, qui, morte àQuimper, entourée des soins affectueux de Mme Beau, rejoignitson mari en novembre 1886, et de sa fille Marie, dont l'œuvredans l'enseignement secondaire fut d'une haute portée sociale.« Marie Souvestre honora pendant quarante ans le nom deson père, aux écoles de Fontainebleau et d'Alenwod, en Angleterre, qu'elle fonda et fit prospérer au delà de toute espérance. Aussi, l'an dernier, un membre de l'Académie fran-çaise, M. Ribot, a-t-il pu justement dire d'elle sur sa tombe :« Elle aimait à enseigner aux jeunes filles anglaises tout« ce qu'il y a de plus élevé, de plus solide et en même temps« de plus exquis dans le génie français. Elle a ainsi travaillé,« à sa manière et dans la mesure de ses forces, à dissiper« quelques malentendus, à accroître l'estime réciproque que« deux grandes nations doivent avoir l'une pour l'autre. »« Le sujet du concours poétique était Emile Souvestre. Jelaisse au docteur Gaboriau le soin de proclamer la liste desajoncats. Spécialiste des maladies du cerveau, il pourra gué-rir séance tenante ceux à qui la Couronne d'ajoncs communiquerait la folie des grandeurs. Je me bornerai à dire que lejury accorde un prix hors concours au premier ajoncat del'an passé, au Brestois Th. Rahier, auteur d'une balladedont voici l'envoi :Reines et rois de nos jeux bucoliques,Placez Souvestre en vos conseils auliques.Là maintenant dansez la trihory :Il ne faut pas de gens mélancoliquesAu gai Pardon de Montfort-l'Amaury.« J'ajouterai qu'un double premier prix récompense le sonnet d'un poète délicat, fils d'un membre éminent de l'Institut, et les strophes fantaisistes d'un rimeur alerte du paystrécorrois. Je terminerai en lisant la traduction du premierprix de poésie celtique. Notre barde s'exprime ainsi :« Le vent d'Ouest souffle sur la montagne couronnée de ruines.Le vent d'Ouest agite le manteau de lierre du vieux donjon...« Je suis le petit-fils de Lao, le sonneur de Cornouailles, quimena le branle des korrigans.- Moi, je ne sonne pas pour ces nains ridicules. Je sonne pour lesgrands morts qui ressuscitent à Montfort-l'Amaury.Le Monde tel qu’il sera en l’an 3000
1ère œuvre de dystopie

Une société où l'individualisme est devenu la loi, où la recherche du profit motive toutes les relations humaines et qui exhibe, gravée à l'entrée des maisons, sa devise provocatrice : "Chacun chez soi, chacun pour soi". Tel est le tableau menaçant qu'Emile Souvestre dresse de l'an 3000, dans ce Monde tel qu'il sera. Avec la publication parallèle de la magistrale biographie de Souvestre qu'avait préparée Bärbel Plötner-Le Lay, fruit de dix années de travail, on peut redécouvrir ce roman comme une étape importante du patrimoine littéraire du dix-neuvième siècle. Le plaisir de la lecture du roman d'anticipation de Souvestre tient aussi à l'humour et au dynamisme d'une écriture qui enchaîne les scènes comiques et satiriques.


Il a un lien de parenté avec 2 autres écrivains SOUVESTRE :

Family Note

Marriage with Angélique Anne PAPOT

Trois mois s’écoulent et doucement Souvestre remonte la pente mais ses douleurs sont ravivées par le souvenir de sa jeune femme. Il va se dire incapable d’apporter des paroles de consolation à E. Turquéty et l’on sent un certain agacement sur le sentimentalisme égoïste de ce dernier.Émile Souvestre fréquente toujours ses deux beaux-frères et son collègue Alexis Papot. La sœur de ce dernier est tombée amoureuse du jeune veuf et il va chercher à fuir mais alors qu’il annonce son départ à la jeune femme elle laisse échapper ses sentiments et Souvestre dit à son ami É.Turquéty avoir répondu à sa déclaration. Le mariage a lieu en mai 1832 et dès le lendemain de la cérémonie le couple quitte Nantes pour Morlaix car Souvestre ne veut pas vivre dans les lieux où les souvenirs de Cécile, sa première épouse, seraient trop présents.Quelques jours avant, le 2 mai, Augustin Ballot-Beaupré s’était lui aussi remarié avec Jeanne Chaillou, sœur de l’un de ses condisciples du lycée de Nantes.

  Photos and archival records

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 Family Tree Preview

Amaury SOUVESTRE 1677-1738 Françoise JOUAN 1678-1740      
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Jean SOUVESTRE 1716-1778 Marguerite LABAT 1717-  
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Jean-Baptiste SOUVESTRE 1757-1823 Marie-Françoise BOUDIER 1769-1841
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Charles "Emile" SOUVESTRE 1806-1854